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samedi, 13 mai 2023

13 mai. Apparitions de Notre Dame à Fatima. 1917.

- Apparitions de Notre Dame à Fatima. 1917.
 
Pape : Benoît XV. Président de la République de Portugal : Bernardino Machado*.
 
" Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu'Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ?
- Oui, nous voulons.
- Vous aurez alors beaucoup à souffrir, mais la grâce de Dieu sera votre réconfort."
Notre Dame aux trois voyants à Fatima, le 13 mai 1917.
 

Statue de Notre Dame de Fatima au Carmel de Coïmbra dans lequel
soeur Lucia Dos Santos, la voyante privilégiée des apparitions,
fit profession religieuse.

Nous ne donnerons pas de notice complète des apparitions de Notre Dame à Fatima.

Le récit fidèle de celles-ci, ainsi qu'une foule d'informations supplémentaires, se trouve reproduit sur l'excellent site Notre Dame de Fatima.
Nous signalons néanmoins que nous ne saurions partager la ligne éditoriale de ce site, laquelle soutient, contre tout bon sens, que l'abbé Joseph Ratzinger est le pape de l'Eglise catholique.

Relativement au fait que les usurpateurs qui pontifient à Rome aient publié en l'an 2000 un message censé être le 3e secret (lequel devait être révélé au monde en 1960), une part importante des observateurs de cette question déterminante au plan eschatologique n'hésit pas à dire que ce " 3e secret " est un faux, une forgerie, qui oscille entre le cynisme et la farce.


Les trois petits enfants à l'époque des apparitions :
Jacynthe, François et Lucie.

Entre autres, par exemple, un (vrai) prêtre conciliaire, spécialiste reconnu de Notre Dame et de son culte, l'abbé René Laurentin, a émis de sérieux doutes quant à l'authenticité de ce " 3e secret ".

Mais sur le sujet, on lira surtout l'excellent livre de monsieur Laurent Morlier " Le troisième secret de Fatima publié par le Vatican le 26 juin 2000 est un faux. En voici les preuves..." aux éditions DFT (BP 28, 35 370 , Argentré-du-Plessis).

Sur ce lien, l'auteur - qu'il en soit remercié par nos humbles et ferventes prières pour lui à Notre Dame de Fatima -, met d'ailleurs gracieusement son livre à la disposition du lecteur sur le site Notre Dame Fatima.


LE MIRACLE DU SOLEIL

Le lecteur ne sait peut-être pas que Notre Dame avait annoncé qu'elle intercéderait auprès de la Très Saine Trinité pour qu'un miracle ait lieu et puisse aider leurs témoins à croire.

Ce miracle eut lieu le samedi 13 octobre 1917 : le soleil dansa dans le ciel devant une foule de 50 000 à 60 000 personnes !


Ce 13 octobre, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50 000 à 60 000 personnes ! Certains étaient venu de très loin pour assister à l'Apparition promise. Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, les mois précédents.

Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produirait pas, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge ; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.

Pour réciter le chapelet, la foule ferma les parapluies, bien qu'il pleuvait à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s'agenouillèrent.

Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi.
Pourtant, la Sainte Vierge était à l'heure ! En effet, le gouvernement de l'époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l'heure solaire ; mais le Ciel n'a que faire de l'heure des hommes !...


A l'heure du soleil, ou plutôt devrait-on dire à l'heure de Dieu, il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite Lucie vit la lumière qui précèdait chaque Apparition ; et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert. S'adressant à Lucie, Elle lui dit :
" Je veux te dire que l'on fasse ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre-Dame du Rosaire. Que l'on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux."
Là encore, de nombreuses demandes de guérison étaient demandé à Notre-Dame.
" Les uns guérirons, les autres non, car il faut qu'ils se corrigent, qu'ils demandent pardon de leurs péchés. [et prenant un air plus triste] : Il faut cesser d'offenser davantage Dieu Notre Seigneur, car Il est déjà trop offensé."

Pendant qu'Elle s'entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s'éleva dans l'air pour finalement disparaître.

Pendant que Notre-Dame s'élevait, le reflet de la lumière qui se dégageait d'Elle se projeta sur le soleil. C'est à ce moment que la foule put contempler la danse du soleil : la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair.


La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé. Il y avait un grand silence. L'astre se mit à trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Il semblait s'approcher de la terre, au point que la foule s'en inquiéta. En effet, le soleil, conservant son mouvement rapide de rotation, paraissait brusquement se détacher du ciel et avancer en zigzaguant sur la foule. Ce fut un instant si terrible que plusieurs personnes s'évanouirent, mais finalement il s'arrêta au grand soulagement de tous. À la stupéfaction générale, la foule put constater que leurs vêtements, trempés par la pluie quelques minutes auparavant, étaient complètement secs ! Cette danse du soleil put être observé jusqu'à plusieurs kilomètres de Fatima.

Pendant les dix minutes où la foule contemplait ce miracle cosmique, les trois petits voyants purent admirer, en plein ciel, trois tableaux successifs :
- LA VISION DE LA SAINTE FAMILLE : À coté du soleil apparut saint Joseph avec l'Enfant-Jésus et Notre-Dame, vêtue de blanc avec un manteau bleu. Saint Joseph et l'Enfant-Jésus semblait bénir le monde, avec des gestes qu'ils faisaient de la main, en forme de Croix.
- LA VISION DE NOTRE-DAME DES 7 DOULEURS : après la première vision ci-dessus, les enfants virent Notre Seigneur Jésus-Christ et Notre-Dame des 7 Douleurs. Notre Seigneur semblait bénir le monde.
- LA VISION DE NOTRE-DAME DU MONT-CARMEL : dans cette dernière vision, Notre-Dame apparut seule sous l'aspect de Notre-Dame du Carmel.


Lucie seule vit la seconde et la dernière vision, tandis que François et Jacinthe n'eurent le privilège de n'apercevoir que la vision de la Sainte Famille.

Ce fut la dernière fois que Notre-Dame apparut à la Cova da Iria, laissant les preuves irréfutables de Son existence. Bien sur, cet événement parut dans la presse.

Dans son cahier de souvenirs, soeur Lucie (alors soeur Marie de Jésus) avait ajouté des remarques qui s'adressent à nous tous :
" En cette apparition, les paroles qui restèrent le plus profondément ancrées dans mon coeur furent celles par lesquelles notre sainte Mère du Ciel suppliait les hommes de ne plus peiner Notre Seigneur trop offensé.
Quelle amoureuse plainte elles contiennent et quelle supplication ! Oh ! que je voudrais qu'elles résonnent dans le monde entier et que tous les enfants de la Mère céleste écoutent sa voix ! "

A un autre endroit, elle nous dit que lorsqu'elle parlait de cette dernière visite céleste avec ses cousins, ils ne pouvaient retenir leurs larmes en se rappelant la tristesse du visage de l'apparition quand elle avait prononcé ces paroles.

Notre Dame du Mont-Carmel. Eglise abbatiale Saint-Oyend
aujourd'hui cathédrale Saint-Pierre & Saint-Paul de Saint-Claude.
Jura. France-Comté. XVIIe.

PRIERES. DEVOTION À NOTRE-DAME DE FATIMA

- " Mon Dieu, je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n'espèrent pas, qui ne Vous aiment pas."

- " Très Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, je Vous adore profondément, et je Vous offre le très précieux Corps, Sang, Âme et Divinité de Jésus-Christ, présent dans tous les tabernacles de la terre, en réparation des outrages, sacrilèges et indifférences par lesquels il est Lui-même offensé. Par les mérites infinis de son très Saint Coeur et du Coeur Immaculé de Marie, je Vous demande la conversion des pauvres pécheurs."

- Paroles de Notre-Dame, le 13 juillet 1917, à Fatima :

" Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent à Jésus, spécialement lorsque vous ferez un sacrifice :
" Ô Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Coeur Immaculé de Marie."


L'Immaculée Conception. Carlo Crivelli. XVe.

- " Ô mon Jésus, pardonnez-nous,
Sauvez-nous du feu de l'enfer ;
Attirez au Ciel toutes les âmes,
Surtout celles qui en ont le plus besoin."
La version habituellement adoptée pour la récitation du chapelet en commun est substantiellement exacte :
" Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés,
préservez-nous du feu de l'enfer,
et conduisez au Ciel toutes les âmes,
surtout celles qui ont le plus besoin de votre miséricorde."

- Prière que chantonnait Jacinthe en gardant ses brebis ou en cueillant des fleurs :

" Doux Coeur de Marie, soyez mon salut ;
Doux Coeur de Jésus, soyez mon amour ;
Coeur Immaculé de Marie, convertissez les pécheurs ;
Préservez leurs âmes de l'enfer."


- Consécration au Coeur Immaculé de Marie :

" Ô Vierge Marie, Mère de Dieu et notre Mère, je me consacre à votre Coeur Immaculé pour être pleinement offerts et consacrés au Seigneur.
Veuillez s'il vous plaît me prendre sous votre protection maternelle ; défendez-moi contre les dangers, aidez-moi à vaincre les tentations, à fuir les péchés, et veillez je vous en conjure sur la pureté de mon corps et de mon âme. Que votre Coeur Immaculé soit mon refuge et le chemin qui conduit jusqu'à Dieu.

Donnez-moi la grâce de prier et de me sacrifier par amour pour Jésus, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre votre Coeur Immaculé.

En me confiant à Vous et en union avec le Coeur de votre divin Fils, je veux vivre pour la Très Sainte Trinité en qui je crois, que j'adore, que j'espère et que j'aime.

Ainsi soit-il."


- Prière à Notre Dame du Mont-Carmel (apparition du 13 octobre 1917) :

" Vierge bénie, Ô pleine de grâces, Ô Reine des Saints, combien il m'est doux de vous vénérer sous ce titre de Notre-Dame du Mont-Carmel ! Ce nom me rappelle d'abord les temps du prophète Elie, lorsque vous apparûtes sur le Carmel sous la figure d'une petite nuée qui alla grandissant au point de se changer en une pluie bienfaisante, symbole des grâces sanctifiantes qui nous viennent de vous. Ce nom me rappelle aussi ce jour du 13 octobre 1917 où, pendant les dix minutes où la foule contemplait le miracle cosmique à Fatima, les trois petits voyants purent admirer, en plein ciel, votre sainte image.

Déjà dès les temps apostoliques vous avez été honorée sous ce titre mystérieux, et maintenant nous nous réjouissons à la pensée de nous unir à vos premiers serviteurs, avec eux nous vous saluons en vous disant : " Ô beauté du Carmel, gloire du Liban, lis très pur, rose mystique du jardin de l'Église !"

Cependant, Ô Vierge des vierges, souvenez-vous de ma misère et montrez-vous ma mère. Répandez en moi toujours plus vive la lumière de cette foi qui vous a rendue bienheureuse, enflammez-moi de ce céleste amour avec lequel vous aimiez votre Fils, Jésus-Christ. Voici que rempli de misères spirituelles et temporelles, pressé de toutes parts par les douleurs du corps et de l'âme, je me réfugie comme votre enfant à l'ombre de votre protection maternelle.

Mère de Dieu, qui avez tant de pouvoir et d'empire, obtenez-moi de votre Fils béni les dons célestes : l'humilité, la chasteté, la douceur qui furent la plus belle parure de votre âme immaculée. Obtenez-moi la force dans les tentations et les peines qui souvent me travaillent. Et lorsque s'achèvera, selon la volonté de Dieu, la journée de mon pèlerinage sur cette terre, faites qu'à mon âme soit accordée, par les mérites du Christ et par votre intercession, la gloire du paradis.

Ainsi soit-il."
 
* Franc-maçon, grand-maître du Grand-Orient du Portugal, persécuteur des droits de l'Eglise et  des Chrétiens, Bernardo Machado et la première république-révolutionnaire et maçonnique au Portugal seront renversés le 5 décembre 1917 par un coup d'état mené par le général Sidónio Pais, un catholique fervent, fort du soutien populaire.

Commentaires

Puissions nous être en mesure de dire chaque fois au Seigneur : " Que ta volonté se fasse en moi et non la mienne ",que le monde serait meilleur et la paix assurée pour tous les hommes de la terre.
Notre Dame de Fatima, aidez-nous à savoir être et demeurer vos instruments. Amen.

Écrit par : Alfred Vinakpon | mardi, 13 mai 2008

Merci pour cette introduction qui affirme clairement que le prétendu troisième secret de Fatima publié par Wojtyla est un faux. Selon toute certitude, le vrai secret concerne l’apostasie du clergé dont nous sommes actuellement les témoins horrifiés. Cette apostasie a été clairement prédite par saint Paul et est le prélude au châtiment par le feu prédit par saint Pierre comme le miracle du soleil l’a montré en toute réalité.

Écrit par : Michel Mottet | vendredi, 13 mai 2016

Il est important de signaler que Pie XII, selon les affirmations de tous les commentateurs des Apparitions de Fatima, y compris Frère Michel de la Sainte Trinité, se serait refusé de prendre connaissance de ce secret capital donné par la Mère de Dieu et certifié par un tel miracle qui est un fait historique incontestable !

Écrit par : Michel Mottet | vendredi, 13 mai 2016

Ce n’est pas par hasard que la bienheureuse Vierge Marie est apparue à Fatima le 13 mai 1917, jour où la Sainte Eglise honore saint Robert Bellarmin. Ce dernier avait demandé à Galilée de prouver la théorie de Copernic selon laquelle le soleil est fixe et immobile et la terre tourne autour de lui en tournant en même temps sur elle-même. Galilée n’a jamais fourni cette preuve qui a néanmoins été adoptée comme « scientifique » sans le moindre fondement dans la réalité. Dieu seul sait le tort incalculable que cette théorie a fait à l’Ecriture et à l’Eglise en la faisant passer pour enseigner une prétendue erreur en affirmant que la terre est fixe. Le miracle du 13 octobre 1917 où le soleil a montré son double mouvement – fait historique constaté par des dizaines de milliers de témoins – a fourni la preuve irréfutable que la théorie de Copernic, adoptée par Galilée, est fausse. Le fait que cette théorie soit encore enseignée constitue un péché contre l’Esprit Saint. Ce dernier consiste à enseigner l’erreur en sachant en toute certitude qu’elle est une erreur.

Écrit par : Michel Mottet | lundi, 13 mai 2019

Ce n’est pas par hasard que la bienheureuse Vierge Marie est apparue à Fatima le 13 mai 1917, jour où la Sainte Eglise honore saint Robert Bellarmin. Ce dernier avait demandé à Galilée de prouver la théorie de Copernic selon laquelle le soleil est fixe et immobile et la terre tourne autour de lui en tournant en même temps sur elle-même. Galilée n’a jamais fourni cette preuve qui a néanmoins été adoptée comme « scientifique » sans le moindre fondement dans la réalité. Dieu seul sait le tort incalculable que cette théorie a fait à l’Ecriture et à l’Eglise en la faisant passer pour enseigner une prétendue erreur en affirmant que la terre est fixe. Le miracle du 13 octobre 1917 où le soleil a montré son double mouvement – fait historique constaté par des dizaines de milliers de témoins – a fourni la preuve irréfutable que la théorie de Copernic, adoptée par Galilée, est fausse. Le fait que cette théorie soit encore enseignée constitue un péché contre l’Esprit Saint. Ce dernier consiste à enseigner l’erreur en sachant en toute certitude qu’elle est une erreur.

Écrit par : Michel Mottet | mardi, 14 mai 2019

Ce n’est pas par hasard que la bienheureuse Vierge Marie est apparue à Fatima le 13 mai 1917, jour où la Sainte Eglise honore saint Robert Bellarmin. Ce dernier avait demandé à Galilée de prouver la théorie de Copernic selon laquelle le soleil est fixe et immobile et la terre tourne autour de lui en tournant en même temps sur elle-même. Galilée n’a jamais fourni cette preuve qui a néanmoins été adoptée comme « scientifique » sans le moindre fondement dans la réalité. Dieu seul sait le tort incalculable que cette théorie a fait à l’Ecriture et à l’Eglise en la faisant passer pour enseigner une prétendue erreur en affirmant que la terre est fixe. Le miracle du 13 octobre 1917 où le soleil a montré son double mouvement – fait historique constaté par des dizaines de milliers de témoins – a fourni la preuve irréfutable que la théorie de Copernic, adoptée par Galilée, est fausse. Le fait que cette théorie soit encore enseignée constitue un péché contre l’Esprit Saint. Ce dernier consiste à enseigner l’erreur en sachant en toute certitude qu’elle est une erreur.

Écrit par : Michel Mottet | mardi, 14 mai 2019

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